
EVEIL à la FOI et PRIÈRE des TOUT-PETITS > samedi 25 mars à Stella Matutina
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Tous les vendredis de Carême, chemin de croix à Notre-Dame-des-Airs à 15h à partir du 24 février.
par le Père Vincent Baumann > Ecouter
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DE QUELLE JOIE PARLE-T-ON ?
Vous connaissez l’histoire : chaque année, deux incongruités liturgiques resurgissent qui font le bonheur des prêtres et des esthètes. Au milieu d’un temps de pénitence (en violet), deux dimanches nous font en effet anticiper la joie de la fête à venir (en blanc) et sont donc logiquement célébrés en rose : le 3e dimanche de l’Avent et le 4e dimanche de Carême. On appelle le premier « Gaudete » et le second « Lætare », du nom du premier mot de leur introït, c’est-à-dire leur chant d’entrée grégorien (qui n’est aujourd’hui guère plus chanté que dans quelques monastères et lieux prestigieux comme Saint-Pierre de Rome et… Notre-Dame-des-Airs de Saint-Cloud). Ces deux termes sont synonymes et signifient « Soyez dans la joie » ou « Réjouissez-vous ».
On a tôt fait de tomber dans un grossier piège : faire de ces deux dimanches de simples dimanches « à thème » sur le modèle contemporain des « journées mondiales de… ». Cette année, entre la journée mondiale du recyclage (18 mars) et celle de la santé bucco-dentaire (20 mars), nous aurions donc droit à notre dimanche de la joie.
Or, si l’on y regarde de plus près, c’est à une joie particulière que nous invite l’introït Lætare de ce dimanche : « Réjouis-toi, Jérusalem ; vous tous qui l’aimez, rassemblez-vous.
Jubilez de sa joie, vous qui étiez dans la tristesse ; alors vous exulterez, vous serez rassasiés de consolation » (cf. Is 66, 10-11). La joie qui doit être la nôtre est en effet celle de Jérusalem, la ville sainte, figure de la Jérusalem céleste. Cette Jérusalem, c’est aussi l’Église, comme le rappelle le concile Vatican II : « L’Église s’appelle encore “la Jérusalem d’en haut” et “notre mère” (Ga 4, 26 ; cf. Ap 12, 17) ; elle est décrite comme l’épouse immaculée de l’Agneau immaculé (Ap 19, 7 ; 21, 2.9 ; 22, 17) que le Christ “a aimée, pour laquelle il s’est livré afin de la sanctifier” (Ep 5, 26), qu’il s’est associée par un pacte indissoluble, qu’il ne cesse de “nourrir et d’entourer de soins” (Ep 5, 29) ; l’ayant purifiée, il a voulu se l’unir et se la soumettre dans l’amour et la fidélité (cf. Ep 5, 24), la comblant enfin et pour l’éternité des biens célestes, pour que nous puissions comprendre l’amour envers nous de Dieu et du Christ, amour qui défie toute connaissance (cf. Ep 3, 19). » (Lumen Gentium 6)
Oui, au milieu des épreuves et des tribulations que nous ne connaissons que trop bien, l’Église est remplie d’une véritable joie qui vient de Dieu. Joie, douloureuse certes, d’être purifiée sans relâche par le Christ son époux, mais aussi et surtout joie de l’annonce de l’évangile, joie d’accueillir bientôt des milliers de nouveaux baptisés dans la nuit de Pâques…
Cette joie, rien ni personne ne nous l’enlèvera. (cf. Jn 16, 22)
+ Père Clément Ryder
La paroisse de Saint-Cloud célèbrera de septembre 2022 à juin 2023 le 1500ème anniversaire de la naissance de saint Cloud (ou Clodoald). Pensez à faire un don à la Fondation Sainte Geneviève qui peut être dédié à cet anniversaire.
En ce temps-là, il y avait quelqu'un de malade, Lazare, de Béthanie, le village de Marie et de Marthe, sa sœur.
Or Marie était celle qui répandit du parfum sur le Seigneur et lui essuya les pieds avec ses cheveux. C’était son frère Lazare qui était malade.
Donc, les deux sœurs envoyèrent dire à Jésus : « Seigneur, celui que tu aimes est malade. »
En apprenant cela, Jésus dit : « Cette maladie ne conduit pas à la mort, elle est pour la gloire de Dieu, afin que par elle le Fils de Dieu soit glorifié. »
Jésus aimait Marthe et sa sœur, ainsi que Lazare.
Quand il apprit que celui-ci était malade, il demeura deux jours encore à l’endroit où il se trouvait.
Puis, après cela, il dit aux disciples : « Revenons en Judée. »
Les disciples lui dirent : « Rabbi, tout récemment, les Juifs, là-bas, cherchaient à te lapider, et tu y retournes ? »
Jésus répondit : « N’y a-t-il pas douze heures dans une journée ? Celui qui marche pendant le jour ne trébuche pas, parce qu’il voit la lumière de ce monde ;
mais celui qui marche pendant la nuit trébuche, parce que la lumière n’est pas en lui. »
Après ces paroles, il ajouta : « Lazare, notre ami, s’est endormi ; mais je vais aller le tirer de ce sommeil. »
Les disciples lui dirent alors : « Seigneur, s’il s’est endormi, il sera sauvé. »
Jésus avait parlé de la mort ; eux pensaient qu’il parlait du repos du sommeil.
Alors il leur dit ouvertement : « Lazare est mort,
et je me réjouis de n’avoir pas été là, à cause de vous, pour que vous croyiez. Mais allons auprès de lui ! »
Thomas, appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau), dit aux autres disciples : « Allons-y, nous aussi, pour mourir avec lui ! »
À son arrivée, Jésus trouva Lazare au tombeau depuis quatre jours déjà.
Comme Béthanie était tout près de Jérusalem – à une distance de quinze stades (c’est-à-dire une demi-heure de marche environ) –,
beaucoup de Juifs étaient venus réconforter Marthe et Marie au sujet de leur frère.
Lorsque Marthe apprit l’arrivée de Jésus, elle partit à sa rencontre, tandis que Marie restait assise à la maison.
Marthe dit à Jésus : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.
Mais maintenant encore, je le sais, tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera. »
Jésus lui dit : « Ton frère ressuscitera. »
Marthe reprit : « Je sais qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour. »
Jésus lui dit : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ;
quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? »
Elle répondit : « Oui, Seigneur, je le crois : tu es le Christ, le Fils de Dieu, tu es celui qui vient dans le monde. »
Ayant dit cela, elle partit appeler sa sœur Marie, et lui dit tout bas : « Le Maître est là, il t’appelle. »
Marie, dès qu’elle l’entendit, se leva rapidement et alla rejoindre Jésus.
Il n’était pas encore entré dans le village, mais il se trouvait toujours à l’endroit où Marthe l’avait rencontré.
Les Juifs qui étaient à la maison avec Marie et la réconfortaient, la voyant se lever et sortir si vite, la suivirent ; ils pensaient qu’elle allait au tombeau pour y pleurer.
Marie arriva à l’endroit où se trouvait Jésus. Dès qu’elle le vit, elle se jeta à ses pieds et lui dit : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. »
Quand il vit qu’elle pleurait, et que les Juifs venus avec elle pleuraient aussi, Jésus, en son esprit, fut saisi d’émotion, il fut bouleversé,
et il demanda : « Où l’avez-vous déposé ? » Ils lui répondirent : « Seigneur, viens, et vois. »
Alors Jésus se mit à pleurer.
Les Juifs disaient : « Voyez comme il l’aimait ! »
Mais certains d’entre eux dirent : « Lui qui a ouvert les yeux de l’aveugle, ne pouvait-il pas empêcher Lazare de mourir ? »
Jésus, repris par l’émotion, arriva au tombeau. C’était une grotte fermée par une pierre.
Jésus dit : « Enlevez la pierre. » Marthe, la sœur du défunt, lui dit : « Seigneur, il sent déjà ; c’est le quatrième jour qu’il est là. »
Alors Jésus dit à Marthe : « Ne te l’ai-je pas dit ? Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu. »
On enleva donc la pierre. Alors Jésus leva les yeux au ciel et dit : « Père, je te rends grâce parce que tu m’as exaucé.
Je le savais bien, moi, que tu m’exauces toujours ; mais je le dis à cause de la foule qui m’entoure, afin qu’ils croient que c’est toi qui m’as envoyé. »
Après cela, il cria d’une voix forte : « Lazare, viens dehors ! »
Et le mort sortit, les pieds et les mains liés par des bandelettes, le visage enveloppé d’un suaire. Jésus leur dit : « Déliez-le, et laissez-le aller. »
Beaucoup de Juifs, qui étaient venus auprès de Marie et avaient donc vu ce que Jésus avait fait, crurent en lui.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
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