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Édito

ORDONNÉ DIACRE PERMANENT POUR LE SERVICE DE DIEU, DE L’ÉGLISE ET DE SES FRÈRES

Les Clodoladiens sont maintenant familiers avec la figure du diacre, grâce notamment à Christian Carol et Eric Gajewski, qu’ils voient régulièrement dans le chœur de nos églises avec l’étole en travers qui les caractérise. Mais une fois l’aube et l’étole retirées, plus rien ne distingue apparemment dans la rue ou dans son milieu professionnel le diacre des autres hommes. Et c’est précisément un premier signe voulu par le Concile Vatican II lorsqu’il a restauré le diaconat permanent il y a 60 ans, après presque 1000 ans d’interruption, pour étendre la présence de l’Eglise parmi les hommes. Le diacre est implanté au cœur du monde par le biais de son travail, de ses engagements sociaux ou associatifs, de sa vie de famille etc…
Le diacre est ordonné en vue du service, service qui s’exprime autour de trois axes : liturgie, parole et charité.

  • ·  Liturgie : A l’autel, il porte tous ceux dont il a la charge, mais aussi ceux qu’il rencontre dans sa vie. Sa présence au côté du prêtre lors de la prière eucharistique signifie la présence de tous les pauvres, des malades, de ceux qui ne viennent pas à l’Eglise, des oubliés.

  • ·  Parole : L’Eglise n’existe pas pour elle-même. Sa finalité est de louer Dieu et d’annoncer à tous les hommes l’Evangile, la bonne nouvelle du salut.

  • ·  Charité : C’est le service du frère, tellement bien enseigné par le Christ lui-même au cours de sa vie terrestre !

    On parle souvent du diaconat comme du ministère du seuil. C’est une belle expression qui montre bien la vocation spécifique du diacre qui est « un passeur : au monde il essaie de dire l’Eglise, à l’Eglise il tente de dire le monde ». Dans le monde, le diacre est souvent perçu comme « l’Eglise qui se fait proche ».

    Dans le diocèse de Nanterre, avec Mgr Matthieu Rougé, nous avons la grande chance d’avoir un évêque très favorable au diaconat et impliqué dans la formation des diacres d’Ile de France : « Un de mes premiers bonheurs d’évêque a été d’ordonner des diacres et je mesure chaque jour ce qu’ils apportent à la vitalité de mon diocèse », écrit-il.

    Je me réjouis d’avoir été ordonné par lui le 6 octobre dernier en la cathédrale Sainte- Geneviève de Nanterre, en compagnie de deux autres pères de famille de Garches et Levallois. Je demande humblement au Seigneur qu’il m’envoie son Esprit Saint afin qu’à ma petite mesure je puisse avoir la grâce de le servir tous les jours de ma vie. Et je vous demande également, chers amis paroissiens, de prier pour moi !

    Je remercie tous ceux qui m’ont accompagné depuis des années vers l’ordination, prêtres, diacres et laïcs, ainsi que mon épouse Armelle, mes quatre enfants et leurs conjoints. Bientôt à la retraite, je me réjouis de pouvoir libérer du temps pour mon ministère, notamment au travers du catéchuménat, de l’aumônerie de la santé, d’Hiver solidaire, de l’accompagnement de malades à Lourdes, de mon prochain engagement au Secours catholique, et… pour m’occuper de mes petits-enfants, une autre grande joie de la vie !

    Jean-Charles Lacoste, diacre permanent

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éVANGILE DU JOUR

En ce temps-là, Jésus disait : « Quel malheur pour vous, pharisiens, parce que vous payez la dîme sur toutes les plantes du jardin, comme la menthe et la rue et vous passez à côté du jugement et de l’amour de Dieu. Ceci, il fallait l’observer, sans abandonner cela.
Quel malheur pour vous, pharisiens, parce que vous aimez le premier siège dans les synagogues, et les salutations sur les places publiques.
Quel malheur pour vous, parce que vous êtes comme ces tombeaux qu’on ne voit pas et sur lesquels on marche sans le savoir. »
Alors un docteur de la Loi prit la parole et lui dit : « Maître, en parlant ainsi, c’est nous aussi que tu insultes. »
Jésus reprit : « Vous aussi, les docteurs de la Loi, malheureux êtes-vous, parce que vous chargez les gens de fardeaux impossibles à porter, et vous-mêmes,vous ne touchez même pas ces fardeaux d’un seul doigt. »


Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
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